Gabriel Rios
Un artiste belgo portoricain pas comme les autres, qui manie et explore avec brio musique latino, électro, folk, hip-hop et salsa…
Discographie
Bio
Après une enfance et une adolescence passée à Porto Rico, son île natale, Gabriel Ríos part pour la Belgique à l’âge de 17 ans après le lycée, et s’inscrit à l’Académie d’Art de Gand pour y étudier la peinture… Mais la musique l’attire tout autant : il formera rapidement le groupe The nothing Bastards, puis L. Santo, qui connaît un certain succès sur la scène locale. Son premier album, Ghostboy, produit en 2004 par Jo Bogaert (Technotronic), mixe musique latino, hip hop, rock et électro. Son titre principal, Broad Daylight est très bien accueilli en Belgique, aux Pays-Bas et en France. En 2007, il sort Angelhead, également produit par Bogaert, qui conforte encore davantage son style latino/pop/électro. La tournée qui s’en suit et sa présence sur les festivals ne font que confirmer sa popularité. Il marque néanmoins un virage artistique important avec The Dangerous Return (2010), plus orienté sur l’écriture, et fruit d’une collaboration avec le pianiste de jazz Jef Neve, et le percusionniste Kobe Proesmans.
En 2011, il s’installe à New York pour composer un nouvel album solo. Il fréquente régulièrement le Rockwood Music Hall, où il fait la rencontre du musicien et producteur Ruben Samama, qui l’accompagne à la contrebasse. Son épouse, Amber Docters van Leeuwen, complète le trio au violoncelle. L’album sera enregistré « live » au Dreamland studios, une ancienne chapelle en bois reconvertie située près de Woodstock. Ce choix apporte la touche finale à la construction d’un son pur, profond et sans fioriture qui caractérise The Marauder’s Midnight :